La Guinguette littéraire

De la musique, des mots, du vin, des fleurs et des arbres…
Un jardin en ville accessible à tous, gratuitement, durant l’été…

Enthousiasmées par le principe des guinguettes littéraires organisées par la Fondation Mons 2015 dans le cadre de « Mons, Capitale européenne de la Culture », les équipes de la Fondation Maison Losseau et du Secteur Littérature de l’Institution Hainaut Culture Tourisme ont décidé de reprendre à leur compte cette belle expérience.

Parallèlement se constituait une ASBL, « Les Amis de la Guinguette littéraire », constituée d’aficionados montois désireux d’apporter, d’une part, leur aide logistique (tenue d’un bar, par exemple) et, d’autre part, d’organiser quelques événements dans le courant de l’été dans les jardins de la Maison Losseau sur le thème « drôles de guinguettes», privilégiant l’humour et la dérision.

Nos principes fondateurs :

  • Mettre en lumière le travail des acteurs littéraires et culturels de la scène hainuyère.
  • Favoriser les aspects festif, évolutif et participatif du projet : « construire, tout l’été, les guinguettes avec les voisins, les citoyens, les poètes, les artistes, toutes générations confondues ».
  • Privilégier, le dimanche, les activités à caractère familial ou davantage tournées vers le jeune public
  • Bar samedi et dimanche, brunch le dimanche.

La Guinguette littéraire

De la musique, des mots, du vin, des fleurs et des arbres…
Un jardin en ville accessible à tous, gratuitement, durant l’été…

Enthousiasmées par le principe des guinguettes littéraires organisées par la Fondation Mons 2015 dans le cadre de « Mons, Capitale européenne de la Culture », les équipes de la Fondation Maison Losseau et du Secteur Littérature de l’Institution Hainaut Culture Tourisme ont décidé de reprendre à leur compte cette belle expérience.

Parallèlement se constituait une ASBL, « Les Amis de la Guinguette littéraire », constituée d’aficionados montois désireux d’apporter, d’une part, leur aide logistique (tenue d’un bar, par exemple) et, d’autre part, d’organiser quelques événements dans le courant de l’été dans les jardins de la Maison Losseau sur le thème « drôles de guinguettes», privilégiant l’humour et la dérision.

Nos principes fondateurs :

  • Mettre en lumière le travail des acteurs littéraires et culturels de la scène hainuyère.
  • Favoriser les aspects festif, évolutif et participatif du projet : « construire, tout l’été, les guinguettes avec les voisins, les citoyens, les poètes, les artistes, toutes générations confondues ».
  • Privilégier, le dimanche, les activités à caractère familial ou davantage tournées vers le jeune public
  • Bar samedi et dimanche, brunch le dimanche.

La photographie est une autre activité que Losseau affectionnait particulièrement, comme de nombreux bourgeois de son époque. Il fera installer un laboratoire de photographie dans les caves de sa maison et acquerra du matériel sophistiqué, emportant très souvent son arsenal photographique avec lui afin de capturer des instants de vie.

L’avocat montois fut un membre très actif de nombreuses sociétés savantes et artistiques. A tel point qu’il avait conçu sa demeure comme un foyer de développement intellectuel, scientifique et artistique. Il y écrivit de nombreuses contributions à la presse et aux revues spécialisées, y milita en faveur de la création d’une cour d’appel et d’une université d’état. Ces vœux ne seront exhaussés qu’après sa mort.

Durant sa vie, il a organisé de nombreuses réceptions au cœur de sa demeure : cérémonies, bals, conférences illustrées de projections… Parmi ses contemporains, Losseau a noué des liens fidèles avec de nombreuses figures du monde intellectuel de l’époque. Parmi eux, citons Raoul Warocqué, mais aussi Paul Otlet à qui on doit notamment l’invention de la Classification Décimale Universelle, le répertoire international de Bibliographie toujours utilisés aujourd’hui. Outre leurs rencontres, ils échangeaient une correspondance abondante autour de ces projets, avec une vision profondément humaniste de la société qui les entourait, sûrs que l’accès à la connaissance était un facteur de prospérité et de paix pour l’ensemble de l’humanité.

Si sa bibliothèque comportait essentiellement des ouvrages juridiques, Losseau est pour l’éternité associé à la littérature et, plus précisément, à la poésie, par la découverte qu’il fit, en 1901, de l’édition originale d’Une Saison en enfer d’Arthur Rimbaud que l’on croyait détruite.

Avant sa mort, Losseau a souhaité que l’oeuvre de toute sa vie – sa maison – lui survive. Une Fondation a été créée en 1952, à ce jour propriétaire des lieux.

Cette Fondation a confié la gestion de ce précieux héritage à la Province de Hainaut qui y a implanté son secteur Littérature et y a développé un ambitieux programme de manifestations dans les domaines touristique et culturel. Visites thématiques en plusieurs langues, rencontres et activités pour les amoureux de la littérature, conférences, expositions souvent liées aux héritages que nous a laissés Léon Losseau émaillent désormais notre calendrier.

La photographie est une autre activité que Losseau affectionnait particulièrement, comme de nombreux bourgeois de son époque. Il fera installer un laboratoire de photographie dans les caves de sa maison et acquerra du matériel sophistiqué, emportant très souvent son arsenal photographique avec lui afin de capturer des instants de vie.

L’avocat montois fut un membre très actif de nombreuses sociétés savantes et artistiques. A tel point qu’il avait conçu sa demeure comme un foyer de développement intellectuel, scientifique et artistique. Il y écrivit de nombreuses contributions à la presse et aux revues spécialisées, y milita en faveur de la création d’une cour d’appel et d’une université d’état. Ces vœux ne seront exhaussés qu’après sa mort.

Durant sa vie, il a organisé de nombreuses réceptions au cœur de sa demeure : cérémonies, bals, conférences illustrées de projections… Parmi ses contemporains, Losseau a noué des liens fidèles avec de nombreuses figures du monde intellectuel de l’époque. Parmi eux, citons Raoul Warocqué, mais aussi Paul Otlet à qui on doit notamment l’invention de la Classification Décimale Universelle, le répertoire international de Bibliographie toujours utilisés aujourd’hui. Outre leurs rencontres, ils échangeaient une correspondance abondante autour de ces projets, avec une vision profondément humaniste de la société qui les entourait, sûrs que l’accès à la connaissance était un facteur de prospérité et de paix pour l’ensemble de l’humanité.

Si sa bibliothèque comportait essentiellement des ouvrages juridiques, Losseau est pour l’éternité associé à la littérature et, plus précisément, à la poésie, par la découverte qu’il fit, en 1901, de l’édition originale d’Une Saison en enfer d’Arthur Rimbaud que l’on croyait détruite.

Avant sa mort, Losseau a souhaité que l’oeuvre de toute sa vie – sa maison – lui survive. Une Fondation a été créée en 1952, à ce jour propriétaire des lieux.

Cette Fondation a confié la gestion de ce précieux héritage à la Province de Hainaut qui y a implanté son secteur Littérature et y a développé un ambitieux programme de manifestations dans les domaines touristique et culturel. Visites thématiques en plusieurs langues, rencontres et activités pour les amoureux de la littérature, conférences, expositions souvent liées aux héritages que nous a laissés Léon Losseau émaillent désormais notre calendrier.